Les sages conseils de nos rédacteurs en chef

GIF TOTO ET FELICIE

Nos deux rédacteurs en chef vous proposent des conseils et des avis sur notre vie quotidienne.

 


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Ils vous précisent qu’entre des siestes bien méritées ils travaillent sur d’autres articles qu’ils ne manqueront pas de vous faire partager lors des prochaines mises à jour de notre site.

Bonne lecture !

 


  Un petit rappel à nos maîtres qui auraient oublié de surveiller et d’entretenir les griffes de nos patounes !

Si nous sommes du type cavaleur et si nous passons beaucoup de notre temps à l’extérieur, nous ne devrions pas avoir de problème avec nos griffes car celles-ci n’auront pas besoin d’être surveillées.

Par contre si nous sommes du type, je dors sur mon coussin, je ne m’aventure jamais à l’extérieur, ou si l’arthrose m’empèche de m’entretenir les ongles, il y a un risque que mes griffes puissent se recourber dans les coussinets avec des douleurs et des infections possibles.

En fonction de notre cas notre maître devra être plus attentif aux griffes de nos pattes postérieures, car ce sont elles, généralement, qui en ont le plus besoin.

Il ne faudra pas oublier de lui dire que la coupe des griffes devra se passer le plus confortablement et naturellement possible en utilisant  possible en utilisant un coupe-griffes adapté en vente dans toutes les commerces spécialisés.

Le plus simple sera qu’il presse doucement nos coussinets entre le pouce et l’index pour faire sortir les griffes et de ne couper que les pointes transparentes des griffes, celles qui ne contiennent pas de vaisseaux sanguins.

S’il n’est pas certain d’effectuer correctement ce geste, n’hésitez pas à leur conseiller de contacter au préalable votre vétérinaire ou un toiletteur qui se feront un plaisir de leur expliquer.

Si nous n’apprécions pas spécialement ce type d’exercice, une petite récompense sera néanmoins la bienvenu.

  • En résumé : Sinon, gare au canapé …

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Comment nous faire rentrer dans une cage de transport ?

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Pour nous convaincre qu’il est bien pour nous de rentrer dans cette drôle de caisse pour aller notamment chez notre vétérinaire favori sans que cela devienne une vraie épreuve sportive, il faut tout d’abord penser à nous habituer dès notre plus jeune âge à côtoyer cet étranger dispositif.

En effet, nous avons naturellement tendance à associer cet objet suspect à un événement désagréable dès qu’il apparaît dans notre champ de vision.

Donc, pour que tout se passe le mieux possible, il nous faut tout d’abord une caisse de transport d’une taille en rapport à notre gabarit, sans être obligé de nous contorsionner faute de place. Pour la couleur et la marque, par contre on laisse le choix à nos maîtres !

Il faut bien qu’ils puissent décider de quelque chose, à la condition toutefois que leur choix se porte vers un modèle solide et pratique qui ne risque pas de s’ouvrir de manière intempestive lors de notre “balade”, car nous risquerions malheureusement de nous perdre …

Ensuite, pour rendre notre déplacement le plus agréable possible, il faudra bien évidemment que la cage de transport soit propre et dotée d’une couverture ou d’un tissu doux et confortable que nous affectionnons tout particulièrement avec si possible notre odeur ou celle de notre maître. Et oui !!!

2 possibilités pour la suite des évènements :

– 1ère possibilité : Nous rentrons sereinement dans la cage de transport, car toutes les consignes ci-avant ont été respectées et notre maître pourra ainsi nous féliciter d’une voix toute douce !

– 2ème possibilité : Les consignes n’ont pas toutes été respectées et la vaporisation d’une solution anti-stress n’a pas vraiment été efficace, il reste la solution de nous faire rentrer dans la cage de transport en passant l’arrière de notre corps en premier, cela sera moins traumatisant pour nous que de commencer par la tête.

  • En résumé : Quelque soit l’option prise, tout devra se faire avec douceur afin de ne pas nous contrarier et froisser notre beau pelage ! Ah, une dernière consigne : Ne pas oublier de bien fixer notre cage pendant le transport en voiture !

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Attention au coup de chaleur !

 

En période de canicule, les animaux en général et nous les minous en particulier, nous souffrons comme les humains de la hausse des températures.

Tout ceci nécessite quelques précisions et préconisations car il faut que vous sachiez que nous n’évacuons pas la chaleur comme nos maîtres, c’est en haletant que nous régulons la température de notre corps, mais aussi en transpirant entre les orteils. Et Oui !

De plus, par temps de canicule, nous réduisons fortement notre activité physique avec une tendance à dormir encore plus que d’habitude et avec plus de 20°C la nuit et de 30 à 35 °C la journée, notre thermorégulation est beaucoup moins efficace.

Il est donc important de rappeler quelques bases à nos chers maîtres afin de mieux supporter les jours de canicule, de nous protéger contre un coup de chaleur et de nous faciliter la vie dans notre quotidien, à savoir :

– Laissez-nous l’accès aux pièces les plus fraîches de la maison …

– Veillez à ce que nous ayons toujours de l’eau à disposition en la changeant régulièrement et pourquoi pas en y rajoutant ponctuellement quelques petits glaçons et privilégiez la nourriture humide, type pâtée en sachet, plutôt que de systématiser la nourriture sèche sous forme de croquettes …

– Certains d’entre nous apprécieront la mise à disposition d’une serviette très légèrement humidifiée pour s’y coucher, d’autres par contre n’y poseront pas l’ombre d’une patte …

– Par ailleurs, surveillez tout changement de notre comportement et si nous haletons beaucoup et rapidement, si nous peinons à respirer et si notre appétit est en berne, ne perdez pas de temps pour nous emmener chez notre vétérinaire préféré. Il est probable que nous soyons victime d’un coup de chaleur. Dans l’urgence, vous pouvez également nous mouiller avec un linge et de l’eau froide en commençant par la tête et nous aérer avec un ventilateur ou n’importe quel autre objet qui fera office d’éventail …

Pour ceux d’entre nous qui n’ont pas la climatisation et qui le tolèrent, ne pas hésiter à nous mouiller régulièrement, nous avons dit mouillé avec de l’eau tempérée et pas aspergé avec de l’eau froide ! Pour faire simple, le fait de nous passer un linge mouillé sur le corps devrait être suffisant..

  • En résumé : En attendant la fraîcheur du soir, nous restons bien à l’ombre et allons suggérer à notre maître de partager avec nous une de nos nombreuses siestes à la condition qu’il ne ronfle pas !

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Tout savoir sur nos siestes et notre sommeil ?

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Si nos maîtres passent environ un tiers de leur vie à dormir, ce qui peut sembler beaucoup, ils sont très loin de concurrencer les plus gros dormeurs du monde animal. Parmi ceux-ci, il faut dire que nous sommes en bonne place avec une moyenne de 14 à 16 heures de sommeil par jour, mais loin derrière le koala qui affiche un score de 22 heures de sommeil, suivi de peu par le lion et la chauve-souris avec respectivement 20 heures de sommeil par jour.

A l’inverse, le cheval ne dort quotidiennement qu’environ 2 à 3 heures, il en est de même pour l’éléphant, mais la palme de l’animal qui dort le moins revient de loin à la girafe avec une moyenne de 2 heures par nuit.

Après ce préambule à teneur exotique, revenons à nos moutons ou plutôt revenons au sujet qui nous concerne.

Comme tout prédateur carnivore, il faut bien que nous récupérions des séances de chasse, des bagarres de voisinage et des explorations des environs, même si la proie est une souris en peluche ! Par nature, nous sommes des félins et si nous en avons la possibilité nous préférerons sortir la nuit et dormir la journée.

Quant à notre sommeil, il présente des phases dites profondes entrecoupées de plusieurs périodes de sommeil léger pendant lesquelles nous allons plutôt somnoler, grignoter, circuler pour changer de lit ou de canapé, jouer ou faire notre toilette. A ces périodes peuvent également s’ajouter celles dites paradoxales, c’est-à-dire celles des rêves avec des séquences de chasse, de bagarres, avec des oreilles qui tressaillent, un corps qui frémit, des moustaches qui bougent accompagnées parfois de quelques petits miaulements.

C’est aussi une période pendant laquelle nous pouvons également faire des cauchemars, comme celui super stressant sur le vol de toute la réserve de croquettes …

En résumé : Après tous ces précisions sur notre sommeil, une contrariété, une anxiété peuvent aussi avoir un impact sur notre sommeil, alors pour finir un conseil très important pour notre entourage. Laissez-nous dormir tranquillement, même si nous ronflons.

Plus sérieusement, un autre conseil à nos maîtres, soyez attentifs à nos habitudes, car si nous commençons à dormir beaucoup plus qu’à notre habitude, une visite chez notre vétérinaire préféré sera nécessaire, car cela peut-être un signe de maladie ou de douleurs.

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Connaissez-vous l’épillet ?

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L’épillet est une véritable plaie durant l’été, l’un des dangers auquel on pense le moins, mais qui est pourtant à l’origine de nombreuses consultations vétérinaires durant et après la période estivale.

Un épillet c’est un graminée qui prend la forme d’un petit épi d’orge, de blé ou d’avoine qui en séchant se détache de sa tige et tombe au sol. Sa particularité est tout d’abord qu’il s’accroche aux vêtements, mais aussi dans nos poils et c’est bien là le problème et le danger pour nous les minous !

En effet, l’épillet ne se contente pas de s’accrocher à nos poils avec une préférence aux poils longs ou frisés, mais il peut également se planter dans les tissus de la peau, s’incruster entre nos coussinets, mais aussi pénétrer dans nos oreilles, narines, bouche, yeux, anus, etc …

Lorsque l’épillet se loge au niveau des coussinets, cela peut entraîner une boiterie qui sera facilement repérable par nos maîtres. Quant aux autres endroits, ils restent difficile à déceler et ce sont des signes et des attitudes anormales qui devront alerter nos maîtres (Eternuements répétés avec ou sans saignement du nez, conjonctivite, suppuration des canaux lacrymaux, ulcère de la cornée, otite, secouement répétitif de la tête, abcès, fièvre, léchages excessifs, etc …).

En résumé :  Plus particulièrement au printemps et en été inspectez bien notre pelage et notre peau au retour de nos balades en gardant à l’esprit que plus notre poil est long, plus le risque de pénétration d’un épillet est élevé. Un bon brossage, au-delà de notre bien être aura également un rôle préventif efficace. En cas de doute sur des symptômes, pas d’automédication, conduisez-nous rapidement chez notre vétérinaire préféré avant que les lésions ne s’installent, n’essayez pas d’intervenir car vous risqueriez de retarder une prise en charge adaptée. En effet si l’extraction d’un épillet peut être facile, elle peut également se révéler très délicate.

Autre préconisation : Coupez régulièrement l’herbe de notre jardin et soyez particulièrement vigilants si nous avons accès à d’autres secteurs ou à des champs avec de l’herbe haute ou sèche.

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C’est quoi le FIV ?

On dit que c’est un virus communément appelé le sida du chat, présent dans le sang et la salive des chats infectés, qui peut mettre des années avant de se déclarer en restant en veille dans notre organisme sans présenter de symptômes, puis en s’attaquant à notre système immunitaire nous rendant vulnérable à d’autres maladies et infections.

Comment pouvons-nous le contracter ?

La transmission du virus ne s’effectue pas facilement. Le mode de contamination le plus fréquent est la conséquence d’une morsure d’un autre chat lorsque le virus contenu dans sa salive est introduite dans le sang du chat blessé.

Le virus peut également se transmettre directement par la salive lorsque nous nous léchons entre nous ou par le lait quand une mère contaminée allaite ses chatons.

Contrairement à des idées reçues, le virus ne peut pas être transmis via la nourriture, les gamelles et les mains et encore moins à l’homme et aux autres animaux. De même, une contamination au sein d’un groupe de chats qui ne se battent pas reste peu probable.

S’il existe de nombreux vaccins pour nous les chats et notamment celui contre la leucose féline, par contre il n’en existe malheureusement aucun contre le sida du chat. Par contre, il est vivement recommandé à nos maîtres de nous faire stériliser notamment si nous sommes des mâles.

  • En résumé : Si nous sommes FIV, aimez-nous comme les autres, adoptez-nous car nous ne devons pas être des laissés-pour-compte et ne pas faire partie de ceux que l’on ne regarde pas. Nous comptons sur vous !

 


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C’est quoi le “patounage” ?

Si nous débutons une gestuelle à base de mouvements avec nos pattes avant, c’est probablement que nous “patounons” !

En fait, si l’origine de ces mouvements remonte à notre naissance, date à laquelle nous “patounions” sur les mamelles de notre mère pour faciliter la montée de lait dans les tétines, par contre, maintenant que nous sommes plus âgés cette gestuelle correspond davantage à un moment de bien-être qui nous remémore des instants de  bonheur intense.

  • En résumé : Si nous venons nous asseoir sur vos genoux ou sur un fauteuil pour “patouner”, surtout laissez-nous faire sans nous interrompre !

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Connaissez-vous les chenilles processionnaires ?

 

Si non, cela mérite quelques explications de notre part car c’est effectivement un grave danger pour nous les chats. Ces chenilles qui sont brunes avec des tâches rougeâtres sur les flancs et le dos possèdent des poils très urticants et venimeux formant comme un harpon à leur extrémité.

En fait, les processions de ces chenilles débutent généralement à la sortie de l’hiver dès lors que les conditions météorologiques s’améliorent. Elles quittent leurs nids en forme de cocons blancs et descendent des troncs notamment des pins à la queue leu-leu sur des mètres et des mètres pour aller s’enterrer, puis donner ensuite naissance à des papillons.

Initialement présentes sur le pourtour méditerranéen, en Corse et sur la côte atlantique, on les trouve maintenant dans presque tous les départements.

Pour nous les chats, tout se complique en cas de contact involontaire en leur marchant dessus, ou volontairement en jouant avec elles, ou par simple curiosité, car nous allons avoir tendance en raison de la douleur à lécher l’endroit concerné avec le risque de l’étendre sur le reste de notre pelage avec comme résultat, un choc allergique garanti, une respiration difficile, une nécrose très redoutée de la langue et plus grave encore un risque non négligeable d’euthanasie.

En fait, le danger vient des poils très urticants et volatils qu’elles libèrent à la moindre menace. Ils contiennent une toxine venimeuse qui pour info, fut utilisée comme poison dans la Rome antique. En effet, toutes interventions ou contacts avec ces Thaumetopoea-Pityocampa (Et oui …) auront pour conséquence une activation immédiate du système de défense de toute la colonie.

  • En résumé : Il est possible d’installer des pièges autour du tronc des arbres, mais surtout qu’en cas de contact avec ces bestioles une intervention en urgence vitale est à prévoir chez notre vétérinaire préféré d’autant qu’il n’existe pas d’antidote ! En premier soin, vous pouvez rincer notre peau et nos babines à l’eau, mais sans frotter, pour éliminer le plus de poils urticants. Si ceux-ci sont en contact avec nos yeux, il faut les rincer avec du sérum physiologique et ensuite foncez chez notre vétérinaire !

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Les minous et le tabagisme passif …

Non il n’est pas question de relater ici notre première expérience avec la cigarette, mais plutôt de s’assurer si nos maîtres connaissent vraiment l’impact du tabagisme sur notre santé en leur diffusant ce message.

Sur la base d’études réalisées par plusieurs équipes de chercheurs, il semble que les chats soient davantage exposés que d’autres animaux à des maladies chroniques liées au tabac, mais aussi à des pathologies lourdes de conséquences et difficiles à traiter entraînant la plupart du temps une fin tragique.

Ainsi, le risque de développer un lymphome serait chez nous les chats jusqu’à trois fois plus élevé si notre maître est addicte au tabac.

Pourquoi cela ? Tout simplement parce que contrairement aux chiens qui absorbent aussi une quantité non négligeable de fumée lorsqu’ils vivent avec des maîtres accrocs à la cigarette, nous les minous, comme nous sommes très prompts à faire notre toilette, nous sommes encore plus impactés en ingérant les diverses substances toxiques qui se déposent malgré nous sur notre pelage.

  • En résumé : Pensez à nous, car fumer tue également les minous même si cela ne figure pas sur les paquets de cigarettes et en plus ça pue ! Oh, pardon je voulais dire que cela ne sentait pas bon …

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Savez-vous que la gourmandise est un péché qui peut être fatal à nos compagnons à 4 pattes ?

En effet, la toxicité du chocolat pour les minous est due à la théobromine, une molécule concentrée dans le cacao, qui contrairement à l’homme, n’est pas ou très mal supportée par les chats.

Absorbée en grande quantité, elle provoque des ulcères de l’estomac avec vomissement et diarrhée, et pire une fois dans le sang, des convulsions et syncopes cardiorespiratoires.

Par ailleurs, le taux de théobromine dépend du taux de cacao, le chocolat noir est donc dix fois plus dangereux que le chocolat au lait. Quant au chocolat blanc, il ne présente quant à lui aucun potentiel toxique.

Si votre compagnon a ingéré une grande quantité de chocolat, il est urgent de contacter au plus vite un vétérinaire qui fera le nécessaire pour le soigner.

  • En résumé : Si vous voulez nous faire plaisir, offrez-nous plutôt un beau sachet de croquettes ou une succulente boîte de pâtée !

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image469Connaissez-vous les risques, pour nous les chats, du port du collier ?

En effet, il n’est pas rare que nos maîtres, très attentifs à notre bien-être, nous dotent lorsque nous sommes encore chaton d’un collier, soit décoratif, soit curatif, mais aussi pour permettre de nous identifier en cas de perte sans pour cela prendre en compte que nous allons grandir et grossir, ce qui ne sera pas le cas dudit collier !

Imaginez les risques potentiels d’une telle situation et les conséquences dramatiques !

A l’inverse un collier trop grand et trop lâche peut également être dangereux avec un risque d’étranglement ou pire encore si lors de nos balades quotidiennes le collier venait à se coincer dans un objet, un grillage, un buisson ou une branche d’arbre.

  • En résumé : Après un sondage auprès de tous les minous du secteur, le port obligatoire du collier n’a pas été retenu, même si certains sont dotés d’un dispositif anti étranglement, au profit d’une identification obligatoire par tatouage ou puce électronique, une garantie sécuritaire qui répond de surcroît à la législation en Vigueur, de l’utilisation de pipettes anti-parasitaires dont l’efficacité n’est plus à prouver …

Quant à l’aspect esthétique recherché par nos maîtres, dommage pour eux, mais cela nous évitera de nous faire moquer et railler par les autres minous du quartier surtout si notre collier est également pourvu d’accessoires du type grelots et clochettes …

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Un petit rappel très important que nous souhaitons diffuser notamment à nos maîtres, mais aussi à tous les amoureux des chats.

Avec les grands froids, ayez toujours le réflexe de taper sur le capot de votre voiture avant de rentrer dans votre véhicule et de mettre le contact.

Vous pouvez aussi donner un petit coup de klaxon, mais gare aux voisins, notamment si vous quittez régulièrement votre domicile tôt le matin !

En effet, par grands froids des minous peuvent se réfugier près du moteur pour y trouver un peu de chaleur, ce qui aurait des conséquences dramatiques pour eux s’ils n’avaient pas le temps de quitter leur abris de fortune avant le démarrage du véhicule …

  • En résumé : Nous comptons sur vous …

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Lorsque nous partons en villégiature avec nos maîtres, notre grande expérience et notre sagesse prouvent qu’ils sont souvent “tête en l’air” et qu’il n’est donc pas inutile de leur rappeler quelques consignes importantes.

– Nos vaccins sont-ils tous à jour ? C’est très important, ainsi nous serons bien protégés en toutes circonstances. De plus, la vaccination antirabique est obligatoire pour un séjour dans les campings.

– Savent-ils où se trouve notre carnet ou notre passeport de santé ? Ce document établi par un vétérinaire permettra de justifier de notre bonne santé. Il ne faut donc pas l’oublier !

– Demandez-leur si nous sommes bien tatoués ou pucés ce qui permettra de nous retrouver rapidement si nous venions à nous égarer. De plus, l’identification est désormais obligatoire, c’est pour nous une véritable carte d’identité.

– Sommes-nous bien assurés pour les bêtises que nous pourrions faire ? A rappeler également qu’il existe des assurances animales qui prennent en charge les frais vétérinaires et nos soins si nécessaire.

Après ces quelques rappels, il faut maintenant vous assurer des conditions de transport en choisissant votre place dans la voiture. Jamais devant, si possible dans un panier de transport installé sur les places à l’arrière, en évitant d’être au soleil et avec un peu de boisson, non alcoolisée bien sur !

Si nous souffrons du mal des transports, notre vétérinaire préféré nous proposera un traitement adapté.

Pour les plus jeunes d’entre-nous, il faudra envisager une phase d’apprentissage afin de s’habituer au bruit de la voiture. Par exemple, notre maître pourra s’installer avec nous dans le véhicule à l’arrêt, moteur en fonctionnement et lorsque nous serons rassurés, il effectuera pour débuter quelques trajets autour de la maison.

En cas d’arrêt, ne nous laissez pas gambader sans laisse autour de la voiture, cela pourrait être très dangereux pour nous.

Par ailleurs, si la destination finale est un hôtel ou un camping, nos maîtres se sont-ils bien assurés lors de la réservation que nous serons bien acceptés tout au long du séjour ?

De même, ne pas oublier que même s’il est très apprécié par bon nombre de nos maîtres, plus personne n’ignore aujourd’hui que le soleil a des effets ravageurs sur la peau et que nous ne sommes pas épargnés !

Enfin, évitez de bouleverser nos habitudes alimentaires !

  • En résumé : Bonnes vacances à tous ..

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En dépit d’une croyance très largement répandue, le lait n’est pas bon pour nous et il est même déconseillé de nous en donner régulièrement, car nous risquons d’avoir des problèmes digestifs, sauf à dire qu’il soit coupé avec beaucoup d’eau et uniquement dans le cadre d’une gâterie très occasionnelle.

Faute de quoi, ce sont des diarrhées et des coliques qui nous guettent dues à une allergie au sucre du lait, qu’on appelle lactose.

Vous l’avez compris, on doit plutôt nous offrir de l’eau en quantité, notamment pour le bon fonctionnement de nos reins. C’est la seule boisson utile pour nous, surtout si notre nourriture est essentiellement composée de croquettes, un aliment déshydraté qui ne contient pratiquement pas d’eau.

Bon, vous avez compris : il me faut de l’eau, de l’eau et encore de l’eau …

Je vais maintenant aller boire en inspectant du regard la propreté de mon bol et en vérifiant si la température de l’eau est correcte. Ensuite, je goûte et si tout est conforme je m’accroupis et commence à boire.

  • En résumé : « … Ah, qu’elle est bonne !!! … »

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Des caresses, encore des caresses et toujours des caresses …

Savez-vous que les deux parties de notre corps que nous aimons tout particulièrement nous faire caresser sont la tête et les flancs. En effet, il s’agit des deux endroits qui regroupent la plus grande concentration des glandes sébacées qui secrètent des phéromones apaisantes.

Les grattouilles sur les joues, le menton, le coup et entre les deux oreilles sont également des endroits qui sont très prisés.

Et que dire des massages tout au long de la ligne du dos jusqu’à la base de la queue. Mais attention, nous n’aimons pas forcément être touchés sur la région dorso-lombaire.

Ainsi, si nous avons tendance à lever notre arrière train quand vous le caressé, c’est que nous apprécions et que vous pouvez aussi nous gratter jusqu’à la base de la queue.

Par contre pas de caresse à rebrousse poils, car nous n’aimons pas du tout … Bon ! Vous avez compris ?

  • En résumé : Alors qu’attendez-vous pour mettre en pratique une séance de papouilles ou faut t-il que je m’étale sur votre livre ou sur le clavier de l’ordinateur pour attirer votre attention ?

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En fait, notre attitude, notre caractère et notre comportement découlent en très grande partie de ce qui s’est passé lors des premiers mois de notre existence.

En effet, si nous n’avons pas eu de bons contacts avec les humains, si nous avons été abandonnés tout petit ou si nous avons été séparés de notre maman avant nos 3 mois d’âge, il est fort probable que nous développions des carences affectives et une fragilité émotionnelle en ne recherchant pas spontanément la compagnie de l’homme.

Cela peut se concrétiser par une peur panique au moindre bruit, lors de la présence d’une personne étrangère ou à l’occasion de tout évènement inhabituel avec à la clef une fuite ou une tentative de fuite hors de notre lieu de vie.

Ainsi, même si l’objectif à atteindre n’est pas simple, nous pouvons néanmoins vous donner quelques conseils qui vous permettront sans nul doute de renforcer nos liens avec vous ou du moins de ne pas empirer les choses.

Parmi les conseils que nous pouvons vous donner :

– Ne nous punissez pas, même si nous avons fait une bêtise …

– Laissez-nous décider de nos agissements et de nos mouvements sans nous imposer ce que vous voudriez que nous fassions …

– Répondez favorablement à notre demande si nous manifestons l’envie de jouer avec vous …

– Mettez à notre disposition des endroits où nous pourrions nous réfugier si nous je jugeons nécessaire …

– Enfin, pourquoi ne pas contacter un comportementaliste qui pourra également nous aider à être moins craintif et beaucoup plus sociable avec vous …

  • En résumé : Et oui maintenant, c’est à vous de jouer, nous comptons sur vous !

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Contrairement à nos amis les chiens qui n’ont pas de mal à s’adapter lors d’un déménagement, notre bien-être à nous les minous est notamment lié à la stabilité de notre environnement si bien que le moindre changement peut avoir des conséquences émotionnelles et comportementales importantes.

Ainsi, cela peut se concrétiser notamment par une perte de nos repères visuels et des marques apaisantes que nous déposons en nous frottant aux meubles, mais aussi par de la peur, de l’irritabilité, voire des marquages urinaires intempestifs et encore pire par une fugue.

Afin de diminuer notre angoisse, l’utilisation d’un produit analogue aux phéromones apaisantes, du type « Feliway », doit s’utiliser dès l’avant-veille du déménagement en le laissant en place dans notre nouveau logement au moins pendant un mois suivant notre arrivée.

Une dernière préconisation un peu contraignante pour nous les minous, mais nécessaire à une parfaite adaptation, ne pas nous laisser sortir de notre nouvelle habitation au moins pendant les 15 premiers jours suivant notre arrivée afin que nous puissions nous imprégner en toute sérénité de notre nouvel environnement.

Ah ! Encore une dernière chose, n’oubliez pas de mettre nos jouets, nos coussins, panières et accessoires divers et aussi nos croquettes et autres boîtes de nourriture dans un grand carton de déménagement en prenant soin d’y inscrire notre nom en grosses lettres …

  • En résumé :Afin que nous nous perdions pas, surtout ne pas nous laisser sortir dès notre arrivée sur notre nouveau lieu de résidence, même si cela doit nous rendre grognon …

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Savez-vous dans quel cas nous utilisons le “miaou” ?

C’est généralement pour attirer l’attention de notre entourage. Le matin pour saluer notre maître, dans la journée pour réclamer une friandise ou une caresse, mais aussi lorsque nous souhaitons manifester notre mécontentement ou appeler au secours.

Plus vous nous écouterez, plus nous obtiendrons satisfaction à nos demandes et plus vous nous encouragerez à vous parler et à être bavard …

Les Siamois et les minous orientaux ont le “miaou” facile. Les Chartreux et les Abyssins seront eux plus discrets. En résumé, à chacun notre “miaou” !

Saviez-vous également que nous pouvons miauler sans qu’aucun son ne sorte de notre bouche ? C’est tout simplement que les sons que nous émettons sont tellement aigus qu’ils sont totalement inaudibles pour l’oreille humaine.

Après avoir lu notre petit texte, nous sommes persuadés que désormais vous nous écouterez avec plus d’attention !

  • En résumé : Alors, un grand “Miaouuuuuuuuuuuuu” à tous !

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Si votre compagnon à 4 pattes n’a pas d’appétit et qu’il ne mange plus, ne pensez surtout pas qu’il vient de débuter un régime à l’approche de l’été afin de faire bonne figure face aux minous et aux minettes de son quartier !

Ne vous dites-pas non plus en essayant de l’avoir à l’usure qu’il mangera plus tard lorsqu’il aura assez faim, car un chat qui refuse de s’alimenter pendant plus de 2 jours de suite a probablement un problème de santé.

Sauf à dire qu’il n’aime pas la nouvelle marque de croquettes que vous venez pourtant de lui acheter avec amour, mais cela est une autre histoire !

  • En résumé : Un rendez-vous urgent chez son vétérinaire préféré s’impose …

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Même si cela semble pourtant simple en apparence, le pipi et le reste représentent pour nous les minous un acte important de notre vie quotidienne.

C’est d’ailleurs pour cela que nous souhaitons via cette rubrique donner quelques conseils élémentaires à nos maîtres.

Ainsi, pour que tout se passe le mieux du monde et parce que nous sommes également un peu pudiques, il serait bon que notre bac à litière soit placé dans un endroit à l’écart du passage, un emplacement où nous pourrons nous sentir tranquilles, mais surtout pas trop près du lieu où nous mangeons, ainsi que de celui où nous dormons.

Pas facile quant on vit en studio ! Mais avec un peu d’imagination, ils devraient y arriver …

Maintenant qu’avec notre aide précieuse, nos maîtres auront enfin localisé l’endroit idéal, il nous faut désormais poursuivre et leur donner quelques conseils au sujet du matériel et du contenu de ce qu’ils appellent vulgairement « la caisse ».

Pour ce que nous allons appeler le bac à litière, un modèle en plastique fera très bien l’affaire. Quant au contenu, les produits vendus en grandes surfaces devraient tout à fait nous convenir, à condition cependant qu’ils ne soient pas trop parfumés, sauf à dire que notre côté écolo nous fasse plutôt préférer la sciure de bois. Mais ne compliquons pas les choses …

Ah ! Au fait ! Nous allions oublier …

Il faut bien évidemment que nous leur rappelions que nos WC devront demeurer toujours très propres, faute de quoi, nous pourrions bouder notre litière et cibler par dépit la douche, la baignoire, le tapis du salon ou pire encore le lit et sa couette …

A moins que nous leur proposions tout simplement de déménager pour aller habiter dans une maison avec un grand jardin ?

Mais cela est une autre histoire …

  • En résumé : On attend la prise en compte de ces préconisations …

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Avec la chasse, le jeu et le repos, la toilette est sans nul doute l’une de nos activités favorites.

Ainsi, avec notre langue qui se présente comme une véritable râpe on se débarrasse de saletés, de débris cutanés, de pellicules et de poils morts et avec nos petites incisives, qui forment une sorte de peigne fin, on étrille les poils emmêlés et accessoirement on piège les puces.

Quelle efficacité, direz-vous ! Mais ce n’est pas tout, puisqu’en nous léchant, nous étalons le sébum, cette graisse secrétée par les glandes de la peau, qui rend notre fourrure si douce au toucher et si luisante d’aspect. Une vraie crème de beauté pour stars …

Ce n’est pas tout, car pour nous, les chats, se lécher a également des vertus apaisantes. En effet, la stimulation cutanée déclenche la production d’endorphines, des hormones qui procurent du bien-être.

Tout cela est bien utile notamment lorsque nous venons lamentablement de rater une souris et que nous souhaitons apaiser notre frustration, surtout si l’échec a été vu par tous les minous du quartier.

  • En résumé : Notre réputation de roi de la propreté, mais aussi de spécialiste de la zen attitude n’est donc pas usurpée …

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Quel vice pousse certains d’entre nous à faire leurs griffes sur le mobilier de la maison ? En voici une bonne question dont la réponse intéressera sans nul doute de nombreux propriétaires de minous et de minettes …

En fait ce comportement, qui est tout à fait naturel et indispensable à notre bien-être, nous permet également d’affûter nos griffes et d’étirer les muscles de notre corps.

Il n’est donc pas question de nous interdire ces petits exercices quotidiens, mais plutôt de nous fournir un ou des griffoirs plus appropriés que le lit ou le canapé du salon.

Le choix est vaste et non limitatif (Tapis en coco, bûche en bois, panneau de liège, arbre à chat, carton, etc … etc … ou tout simplement un paillasson).

Maintenant que le décor est planté, il faudra aussi faire preuve de persuasion pour nous attirer vers ce bric à brac. Un peu d’herbe à chat séchée, un extrait de valériane ou une olive frottée sur le griffoir devrait nous y aider.

Si malgré tout, certains d’entre-nous continuent à customiser le mobilier en se défoulant sur les fauteuils du salon ou les chaises de la cuisine, l’utilisation d’essences de citronnelle ou d’eucalyptus (Répulsifs) ou de phéromones félines sera également une possibilité à ne pas exclure.

  • En résumé : Avant de nous punir, fournissez-nous d’abord de quoi faire nos griffes !

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Nos maîtres étant parfois un peu “lourds” en ne nous comprenant pas ou en faisant mine de ne pas nous comprendre, nous avons décidé de leur lister 3 de nos principales attitudes

– Lorsque nous nous reposons et souhaitons être
tranquilles, vous allez nous trouver couchés sur le flanc, les pattes avant repliées, les paupières à moitié closes avec aussi une version en position couchée sur le dos et les pattes étirées …

– Si vous n’avez pas compris les explications du 1er paragraphe et si vous nous dérangez pendant notre repos, il est fort possible que vous nous trouviez avec les oreilles repliées, les pupilles dilatées, en train de battre nerveusement de la queue (Cf Gare à toi !) …

– Malgré tout, comme nous sommes bien évidemment très bien éduqués, nous savons parfaitement dire bonjour en venant vers vous, les oreilles droites ou en avant, la queue dressée, tout en miaulant gentiment ou en roucoulant. Dans ce cas, une réponse s’impose de votre part avec une caresse …

  • En résumé : Cette mise au point étant faite, vous n’avez dorénavant plus aucune excuse !

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Comme nous passons quotidiennement 2 à 4 heures à nous toiletter (Et oui, la beauté n’a pas de prix !), il faut nous aider à digérer les pelotes de poils que nous ingérons.

En effet, si la plupart du temps nous arrivons à les régurgiter sans assistance, il peut arriver qu’une pelote fasse obstruction et nous provoque constipation et/ou vomissements.

Si nous n’avons pas accès à un jardin, pensez à nous mettre un peu d’herbe à chat dans un pot, ceci devrait également éviter que nous nous rabattions sur les plantes vertes du salon …

Aidez-nous en nous brossant tous les jours notamment en période de mue, ainsi les poils n’iront pas dans notre estomac, ni sur le tapis ou encore moins dans le lit …

Par ailleurs, un ajout de fibres alimentaires dans nos repas sera idéal pour lutter contre la constipation. Même si nous avons quelques préférences, nous ne pourrons pas citer ici nos marques favorites …

Enfin, un médicament à base d’ésérine permettra également d’éliminer les trichobézoards (Oh pardon, je voulais dire les boules de poils).

  • En résumé : Un peu d’aide SVP …

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S’ils nous arrivent de grimper dans les arbres, c’est peut-être pour nous protéger, pour surveiller notre territoire ou tout simplement pour être tranquilles ! Eh oui …

On craint souvent que nous ne puissions plus redescendre seuls de l’arbre. Il est vrai que la descente est toujours plus difficile que la montée, mais la véritable raison c’est que nous attendons tout simplement qu’il n’y ait plus personne en bas de l’arbre.

  • En résumé : Eloignez-vous un peu de nous et vous verrez que tout se passera bien …

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Présentes toute l’année, les puces sont plus nombreuses au retour des beaux jours, lorsque les températures remontent.

Ce sont des insectes parasites d’un à trois millimètres de long, généralement difficilement repérables à l’oeil nu à cause de leur petite taille, mais aussi en raison d’une couleur noirâtre.

  • En résumé : Pensez donc à nous administrer régulièrement un traitement contre ces immondes bestioles. Sinon gare à l’invasion !

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Cet acarien des bois qui est également de retour au printemps risque de nous attaquer ! Même s’il privilégie les forêts, on en trouve également dans les parcs et les jardins.

Il faut donc impérativement nous prévoir un traitement préventif contre la présence douloureuse de ce parasite, car au-delà de 3 jours après l’attaque d’une tique porteuse d’une maladie, nous serons contaminés !

Au fait, si par malheur notre maître n’avait pas prévu de traitement, il faut que l’on vous dise comment retirer une tique.

Alors, une fois l’intrus repéré, dégagez nos poils, frottez doucement pendant 1 à 2 minutes avec un coton imbibé d’éther ou d’un produit similaire pour l’endormir et enlevez-la délicatement avec une pince à épiler ou mieux avec un crochet à tique en vente en pharmacie.

Ne tirez pas brusquement, vous risqueriez de laisser la tête de la tique sur nous avec un risque de kyste ou d’abcès !

  • En résumé : Pensez donc à nous administrer régulièrement un traitement contre ces immondes bestioles !

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Lorsqu’il nous arrive d’être malades, nos maîtres ne savent pas toujours comment nous donner nos médicaments.

Si Félicie se laisse faire avec son médicament caché dans un peu de fromage, Toto ne craint pas qu’il soit dissimulé dans un peu de pâté, tout en
sachant que nous ne sommes quand même pas dupes !

  • En résumé : A tester …

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Si nous aimons manger dans le calme et la sérénité, n’oubliez pas qu’un récipient assez plat évitera de nous salir les moustaches en les trempant dans notre pâtée !

Enfin, un peu d’eau plate régulièrement renouvelée fera tout à fait l’affaire !

  • En résumé : Pourquoi pas ?

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En fait, si nous mangeons fréquemment de l’herbe en choisissant bien évidemment le plus beau brin c’est pour faciliter notre digestion, mais aussi pour régurgiter d’éventuelles boule de poils.

Ainsi, après quelques efforts et contorsions, ils nous arrivent de vomir !

Pas de panique, cette envie de verdure est sans conséquences fâcheuses pour notre santé.

Attention, ce complément alimentaire naturel n’a aucun effet vermifuge et cela ne dispense nullement nos maîtres de nous traiter régulièrement contre les parasites.

S’il n’existe aucune contre-indication à l’ingestion de l’herbe, nous devons cependant prendre garde qu’elle ne vienne pas d’être traitée avec un désherbant

  • En résumé : C’est normal, mais attention cependant …

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